La Libre
N° 5 - Journal en fond poétique 

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- Poèmes à l'air du temps
- Article sur 2003
- Citations
- Chanson + Poème récité
- Conte à suivre

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- Lyon
- Recette
- Interview
- Conte de Noël


Prières

Ils chantent et dansent, allant vers toutes les contrées,
Ces beaux oiseaux par le bon zéphyr soufflés !
Ils volent dans les jardins d’Eden,
Sans moindre ombre de peine.
Je les envie dans mes pleurs quotidiens,
Dans ma solitude et la tristesse des miens ;
Qu’ils soient les anges du bonheur éternel,
Qui soufflent la paix dans l’ère universelle.
Que revive la douce époque ancestrale,
Et que s’éteigne cette vie animale !

© Amadou FALL

Noël c'est aussi pour toi !

       
Noël c'est aussi pour toi !

  Le malchanceux de l'existence,
  celui qui n'a pas de toit,
  l'abandonné de la providence,
  le découragé de la foi,
  le malade et ses souffrances,
  l'autiste qui vit dans son univers,
  le pauvre avec son indigence,
  le déprimé croyant vivre en enfer,
  le vieillard seul dans sa chambre,
  l'handicapé qu'on laisse de côté,
  celui qui est amputé d'un membre,
  toi qu'on regarde sans humanité.

       © Serge LÉONARD (BRIVE-LA-GAILLARDE)



Noël c'est...

Noël, c'est bientôt Noël,
Les cieux d'enfants en émerveille,
Noël, avec ses blancs du ciel,
Noël, et sa période de fêtes.

Noël c'est aussi un marché
Qui lui grappille de son âme,
Car Noël, c'est dans la tête
Du coeur que cela doit se passer,
L'étoile portée en oriflamme.

Noël, c'est bientôt Noël,
Noël et tous les sens en éveille :

Noël c'est la senteur fruits de mer,
De la dinde au foie gras,
La belle bûche en cerise,
Qui titilles les papilles d'émoi
Avant de se fondre en chaire

Noël c'est aussi les frises,
Fête de l'arc-en-ciel,
Bombes de neiges, crèche
Déco au grés de l'imagination,
Chant divin pour oreilles
Et coeurs en éveille,
Pensées que la messe prêche,
Cadeau que l'on s'offre,
Effort que l'on fait du coffre,
Sapin en illumination,
Touché de l'air au frisson.

Noël, c'est bientôt Noël,
Un instant de paix,
Fête pour l'année
Des gens retrouvés

Noël, c'est bientôt Noël...

Même si consommation est devenu
Une machine, mis à nu,
La magie de Noël
Tiens en quelques mots,
Donner sans compter,
Le petits Jésus et son étoile en haut
Rappeler naissance nouvelle ère,
Aider le mythe du père 
Tout rouge à se forger,
Les rêves faire perdurer,
Car comme sens de l'univers,
C'est nous qui faisons
De lui ce qu'il est,
Et tant qu'à modeler le fer,
Autant que cela soi avec passion

© P.L

 

L'Article sur 2003

Notre envoyée spéciale la plume, est allée à la porte de l'ère qui s'hume, frapper à la porte du temps, afin d'interroger l'année qui s'est écoulée, et l'interviewer, pour en faire le bilan... celle-ci ne fut pas très bavarde, et sortit la tirade suivante :

"Je suis moins pire que la précédente année, 
Mais je ne crois pas que cela en soi
Pour autant un signe pour tous de joie,
Sinon, de bonne chose se sont attachées
Au fil du temps, à coudre continuez,
Vos lendemains, d'amour et d'amitiés,
A chaque instant est à déterrer..."

Des paroles pleines d'espoir comme vous pouvez le constater, mais qui ne m'ont pas rassasié. Je l'ai donc remercié, et m'en vais faire le bilan à sa place... alors, alors : 

il y a eu l'anniversaire le 1 er Janvier du sieur Jean-mi, ensuite, il y a eu l'attaque des clones, ensuite il y a eu encore et toujours des disputes un peu partout dans le monde qui ont parfois tournée aux explosions, il y a eu des bateaux qui ont fait le tour des océans, d'autres qui se sont échoués, il y a eu des disparitions, des âmes dont le destin en cette vie touchaient à leur fin, des larmes ont coulés, puis la vie à repris ses droits, et il y a eu une coupe du monde avec un ballon rond que les français n'ont réussi à saisir, et puis des effets de la nature, inondations, tremblement de terre, tempête... il y a eu la fin d'un hiver, partant en un ailleurs avec son manteau immaculé, laissant place net à un printemps avec ses jardins fleuris, ses arbres portant les oiseaux chanteurs, un soleil chatouilleur avec ses écrins doré, puis il y a eu un été avec ses plages et ses montagnes à découvrir, un été où il a fait bon aussi de faire des siestes, puis ce fut le tour de l'automne avec sa valse des feuilles, les fruits de la saison au sol, le vol des oiseaux migrateurs, les courbures de la fleur de feu, accompagné de la venue de la glace et du froid, et il y aura un automne qui va soupirer et laisser place à l'hiver... il y a eu aussi monsieur Poter, le seigneur des anneaux, sans oublier la fête de ce bon vieux JC, encore et toujours, et ce grand bonhomme rouge avec sa barbe, jouant encore au James bond à son âge, sauf qu'il parait qu'il aurait déménagé du grand froid vers les tropiques, ce qui ne fut pas une mince à faire, et puis il y a eu aussi bien d'autres fêtes, et tout les cadeaux ne sont pas encore tombés, surtout que l'année n'est pas encore finie, alors profitez en ;)... voili, voilou...

Votre envoyée spéciale qui a pris froid à interroger l'ère en cet air hivernale...



© P.L

 

 

 


Citations

Pour voyager à travers les mots, il faut être capable de voyager sur place. 

Noël c'est une boulle d'humanité qui devient amitié, et amour si on y enlève nos éclats qui minent nos quotidiens.

L'on dit que l'humour guérit bien des maux, mais y a t'il un remède pour guérir notre humour ? :o 

L'humour est un trait de l'intelligence, l'amour compose les autres traits de son visage...

"La Baie du Mont St Michel"

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Conte à suivre
(du rififi sur l'or des passages)


En accédant à la planche, il comprit qu'ils s'étaient amusés au modelage des petits boules de feu. Milonie faisait graviter au dessus de sa main, une boule de la taille et de la forme d'une endive, pendant que Crirome passait un bandage autour de la main d'Inadie. Les lueurs avaient peines à dépasser les branchages, et ils avaient voulu égayer leur intérieur d'habitude assez sombre, en vue de jouer à des jeux qui leur demanderaient une meilleur visibilité. Elinoé était le moins doué en magie, et n'osait trop s'essayer à ce genre de choses. Il appréhendait toujours le moment où ses amis s'y essayaient sans concours des grands. Il alla vers eux, les salua, et leur raconta tout ce qu'il avait vu là bas. 

Milonie : J'aimerai voir cela... on va y faire un tour ce soir ?
Inadie : C'est quand même un ptit peu dangereux, et dans le noir...
Crirome : Bas, faire de la lumière on sera faire, mais j'ai peur,
Entre ce que l'on raconte, l'inconnu, ce qui est arrivé...
Milonie : Non d'une plume de Gobelian, vous avez
Donc à ce point un manque de curiosité ?
Elioné ayant au fond envi d'y retourner: 
Non, enfin, mais... alors pour te faire plaisir,
Et puis, si nous y allons tous ensemble...
Inadie : La pensée d'y aller me fait frémir...
Crirome : Mouais, bon, pourquoi pas, je suis partant...
Milonie : Inadie, allons, on fera attention...
Inadie : Bon, bon, par la magie qui habite mon sang,
Le danger je braverai, et puis, vous laisser
Je ne pourrais, même si nous risquons punitions...
Elinoé : Oui, il nous faudra être très discret.

Ils finirent leur discussion sur les précautions à prendre, puis jouèrent un peu à refaire l'univers, avant de vaquer à leur mission, de s'en retourner chez eux, se promettant de se retrouver à l'entrée de la forêt d'Elioné en début de soirée. 

Pour cette exploration de la grotte, ils avaient échafaudé un plan, avaient tenté d'énumérer ce à quoi ils pourraient être confrontés, et s'étaient donnés à chacun une mission. Milonie s'était elle même chargée d'aller emprunter des onguents chez l'herboriste de la journée, son oncle, un "non" magicien. Inadie devait aller acheter quelques victuailles, et des ingrédients nécessaires aux sorts basique (pour boules de feu et autre), pendant que Crirome, son frère faux jumeau, devait capturer un animal corde, dans une clairière. Quand à Elinoé, il allait tout de suite rentré chez lui. Il s'était chargé de prendre un ou deux bouquins de magie, de confectionner une torche, et de prendre des menus objets. 

Explication de la carte tracée par Elinoé : Les arbres/forêts, sont tout les points, taches, verts foncés, il faut les imaginer encore plus touffus, en plus grand nombre, en dehors de la carte. Les maisons sont représentées par les formes marrons, la couleur des toits uniquement. La couleur des murs, dépend non seulement du goût des habitants, mais aussi de l'orluminescence de la journée. Les maisons des magiciens sont très grandes, car ils y ont des salles de magies pour s'entraîner, faire des expériences personnelles et collectives, et les pièces sont quasiment toute plus grandes, car les objets magiques ont une tendance à bouger, surtout ceux qui ont une vie propre. La forme des bâtiments peuvent paraître très étrange, mais sur l'or des passages, l'architecture est aussi capricieuse que peut l'être une pensée de magicien qui a traversé l'univers pour venir se désaltérer dans un bain de couleurs au fond du cerveau. Même les non initiés se sont laissés porter par cette diversité de formes. Ce qui est en bleu sur la carte sur les côtés, c'est les bras de la grande Caritanée, c'est à partir de là que commencent les jardins suspendus. Au centre, si le sol est jaunit, c'est dû à la concentration importante d'or jaune, que certains sculpteurs se sont amusés à extraire avec l'aide des magiciens, pour forger les deux fontaines du village que vous reconnaîtrez aisément. Un petit dragodo (animal qui accepte facilement de vivre dans de très, très petits espaces, le temps de son enfance, et qui crache en permanence un liquide bleuté qui n'est autre que de l'eau, saine, et tout ce qu'il y a de potable) sur chacune, les alimente en permanence. L'arbre sur lequel Elinoé et ses amis ont construit leur cabane, est représenté par un cône, se terminant par une boulle verte. A s'y méprendre, c'est le détail de la carte le plus proche de la réalité, autant par la texture du bois, que l'absence de branche sur une grande partie du tronc, avec, vers le haut, sous le feuillage condensé en boulle, la planche de la cabane, construite au nord (et donc pas visible sur la carte). La maison d'Elinoe se trouve au sud ouest. A noter que beaucoup de maisons ont une fonction qui change presque tous les jours, suivant l'humeur (école de magie, salle de réunion des conseils ect...). La maison du nord est celle qui donne vers le continent (ce qui rend son jardin suspendu limité en largeur au début, non visible sur cette carte).

Après avoir salué ses amis, Milonie était descendue vers le centre. Elle avait posé ses yeux quelques instants sur le dragodo, humé l'atmosphère humide. Puis elle s'approcha du lieu de sa "mission". Deux chiens senteurs de mauvais coups, étaient postés à l'entrée du magasin de son oncle, dont la porte était triangulaire. Un léger filet de fumée s'en échappait, transportant avec lui toutes les senteurs inimaginable des onguents, d'herbes, que Milonie associait à des émotions, des situations, qui la ramenaient aux premières heures de l'éveille de sa conscience d'être. Elle respira un grand coup, se rassura à l'idée qu'elle n'avait aucune mauvaise intention, et s'approcha. Un des deux chiens vint en même temps à elle, et inspira les effluves de l'air.

Snoufleur : Snouf, snouf.. 
Snifleur s'avançant à son tour : Grrrr...
Milonie paniquant un peu : et, euh, Snifleur, Snoufleur, qu'est-ce que vous faite...
Snoufleur : Grrrr...
Milonie se ressaisissant : GGGGGGGGGGGGGGGRRRRRRRRRRRRRRRR !...

Les deux chiens cessèrent et la regardèrent d'un air tout gentillet...

Milonie approchant sa main : Voila, gentil les chiens, c'est comme ça que je vous aime...
Et puis, je n'ai pas de mauvaises intentions en tête...

Milonie pu rentrer dans la boutique sans autre anicroche, et quémander des onguents. L'air était lourd, les étalages en forme d'hélice sentaient le bon bois d'ébène, vernis d'une couche d'or blanc. Son oncle était en train de discuter avec un de ses clients, à propos d'un papier spéciale d'auto écriture, tout en regardant de travers vers l'entrée, quand elle s'était approchée. Il la regarda en fronçant les sourcils. Il avait entendu les deux chiens faire du bruit, et s'était mis en mode méfiance. Ayant néanmoins pleine confiance en elle, il l'a laissa prendre tout ce qu'elle voulait, à condition qu'elle lui montre ce qu'elle prenait, ce qu'elle fit, avec quelques appréhensions. Il lui demanda quelques explications quand à cet important besoin de soin. A cela, elle lui répondit qu'elle et ses amis voulaient s'adonner plus en avant à certains sorts qui pouvaient un peu brûler. Il n'y connaissait pas grand chose, et la laissa déguerpir avec les bocaux où les remèdes étaient stockés.

Inadie était rentrée sans problème dans le magasin du grand bazar, où elle pu prendre des collations, de la poussière d'or, un papier révélateur de danger (le danger émets une odeur, agit ostensiblement sur l'acidité de la luminosité, et de quelques battements, à quelques cycles de couleurs, il est ainsi possible de le détecter grâce à certains "trucs", seul inconvénient, la notion de danger, le passage d'une araignée, comme celui d'un ouragan peuvent avoir le même effet à la détection)  d'autres menus ingrédients, dont une boisson à réservoir de mini parache femelle (des mages ont reproduit les organes d'allaitement de ces animaux, leur ont donné "vie", leur permettant de donner une sorte de lait, suivant un cycle régulier), au goût légèrement cacaoté. Après avoir refait tous les rayons, s'être assuré qu'elle n'avait rien oublié, elle paya en diffusant des onces de magie, mesurés et capturés dans le générateur de matières, posté à l'entrée du magasin. Ce dernier fonctionne grâce aux effluves de magie qui lui sont envoyés, et fabrique à la demande de son "maître".

Pendant que sa soeur s'amusait à faire crépiter avec ses doigts des éclairs, Crirome était parti au nord, à l'arrière de la maison, en marge, là où il y avait un marais. Il était à la recherche d'une liane vivante, une de ces lianes qui peuvent faire office de corde, d'une longueur quasi-illimité. L’air y était plus humide, les branchages capturaient une bonne partie de la lumière, sans la restituer, ce qui donnait au final, une visibilité médiocre. Les effluves du marais l’empêchaient de se concentrer, et il avait hâte de sortir de là. Pour son malheur, il apprit le pourquoi du proverbe Caritanéen « qui trop se hâte dans sa tache, se noie dans l’encre de la poulpe tacheuse ». Alors qu’il levait la tête pour regarder si une liane ne s’était pas agrippée à un arbre, il se prit les pieds dans un trou, chuta. En tombant, il avait mis les mains sur une liane, mais le choc fut tel, que la liane se rebiffa, se replia et commença à l'entourer, le serrant de plus en plus fort. Il n’eu le réflexe d’incanter assez rapidement, et la douleur eu tôt fait de nouer sa volonté. La liane se serrait de plus en plus. Il n’arrivait à bouger son pieds, il se sentait comme enfermé dans de la mélasse, à laquelle on aurait mélangé de la boue et du sable d’or grossier, que l’on aurait finalement laissé sécher une bonne heure (si l’on laisse sécher toute une journée, cela donne un ciment très puissant,  incassable sans magie, à condition que la mélasse soit composée à l’or grise, et que l’on y a ajouté de la poussière d’arc-en-ciel). La douleur atteignant son paroxysme, ses poumons sortirent tout naturellement un « AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
AAAAAAAAAAAAAAAA....
AAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHH !!!!!!!!!!!! », un grand cri qui aurait pu réveiller une princesse à qui l’on aurait jeté un mauvais sort. C’est presque ce qui se passa d’ailleurs, sauf que la princesse n’était pas endormie, elle était en train d’enlever des loupdors de terre (sorte de pomme de terre en forme de loup), à une bonne 100 ène de mètres de là. La jeune fille en robe seyante, arriva à la rescousse, lança un sort de calme en direction de la liane. De ses yeux et de ses mains jaillirent une sorte de poussière, émanations, effets de celui-ci.

Emmanie se penchant vers lui : Ca va ? Tu n’as pas trop mal ? Que c’est il passé ?
Crirome : Euh, merci, mais rien, je m’entraînais à des cris pousser,
Regarde « Aaaaaaaahhh ! »… bon, d’accord, euh, je suis tombé
Sur Dame malchance, la corde je voulais juste agripper.
Euh, qu’as-tu fais ? J’ai presque envie de dormir…
Emmanie : Que veux tu faire d’une corde ? euh, ah, désolée,
Encore une bonne heure tu risques la fatigue sentir…
Crirome se levant et regardant la corde : 
Ah… je vois… la corde ? euh, je ne peux te le dire…
Emmanie faisait les yeux doux : Sans moi, tu serais encore là à geindre,
Je te demande cela comme une faveur…
Crirome regardant ses chaussures, s’époussetant : 
Je ne puis notre plan en entier te peindre…
Emmanie : Votre plan ? Vous êtes dans le coup, plusieurs ?
Crirome fatigué : Bon… c’est juste qu’on voulait aller à la grande grotte…
Emmanie : Celle sur le jardin de la famille d’Elioné ? Là où toute sorte
De magie sont concentrées ? Mouais, il y a rien de très dangereux, enfin ?
Crirome : Euh, et bien, hormis les histoires tissées en faim
De la dormance, danger, il n’y a point. C’est juste, des précautions…
Emmanie guillerette : 
Je pourrai donc venir avec vous ? Évite moi toute supplication…

Crirome conciliant, et ravi de l’aide qu’Emmanie lui avait apporté, acquiesça, l’aida à finir de remplir son panier, et ils s’en allèrent rejoindre leur maison respective pour mangeailler. 

Elinoé, directement rentré chez lui, avait confectionné la torche, fureté dans les livres de magie, en essayant de ne pas trop attiré l'attention sur ses agissements, prit de tous les objets, une plume de rechange, un scarabée ciseau, une planche marteau (petite planche de beau, où un petit marteau, champignon parasite très dure, s'est incrusté)  ect. Ses parents l'avaient bien interrogé sur la fonctionnalité qu'il allait accordé à certains objets qu'ils l'avaient vu prendre, mais il avait trouvé à chaque fois une explication en parade. Et ainsi, tous eurent mené à bien leur tache, et à ce moment même, étaient en train de palpiter chez eux, en l'espérance de leur excursion...

A la nuit tombée, tous nos amis se retrouvèrent comme convenu à l’entrée de la forêt d’Elinoé… 


(© P.L... A suivre...)

 

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